Les peurs l’emportent sur l’amour.

Nous revivons continuellement le passé. Nous n’avons pas encore compris. Il semblerait que nous devions revivre cette pression, cette compression pour un jour en sortir.

Avons-nous encore besoin de passer par ces souffrances, cette discrimination, cette séparation ?

Nous avons cru et on nous a fait croire que nous étions séparés de la source, de Dieu. Tout le chemin, toute la liberté est de retrouver cette source en nous.

Et déjà, vous pouvez, vous posez cette question : où je ne me sens pas libre ?

La liberté est une œuvre commune. C’est l’affaire de tous.

Acquérir sa liberté individuelle et permettre à l’autre d’en faire autant, c’est vital. Nous sommes tous UN.

Nous avons aujourd’hui, l’opportunité de changer notre attitude face à la privation et à la discrimination.

Que voulons-nous voir pour les générations futures ? Quel choix leur laissons-nous ? Et quel exemple leur laissons-nous ?

Nous avons un rôle crucial à jouer, celui de nous réveiller et de nous libérer de toutes nos souffrances, les nôtres, celles de notre famille, car nous sommes tous liés.

J’ai espoir dans cette humanité qui bouge. Je respecte ceux qui sont encore dans leurs peurs et je leur envoie beaucoup de compassion, car il m’arrive  encore d’avoir peur, mais de moins en moins. Encourageons ceux qui veulent changer et qui cherchent la paix et la sérénité.

Plus nous restons dans l’ignorance, plus nous nous éloignons de notre liberté.

Je voudrais tellement que le monde se réveille de ce profond sommeil, de cette léthargie !

En tant qu’individu, je peux faire ce travail de libération, libérer mon âme, car vous faites partie de mon âme. Si vous comprenez que nous sommes tous liés alors peut-être qu’un jour, le monde changera !

Notre devoir, c’est d’amener la paix d’abord en soi, pour pourvoir la partager. Si vous ne faites pas l’effort de changer quelque chose en vous, vous êtes toujours dans la même mécanique et dans l’ignorance.

Notre liberté, c’est de changer quelque chose qui nous fait souffrir.

Ce que tu fais à l’autre, tu le fais à toi-même. Puisque tu fais partie de mon âme !

À chacun d’être la meilleure version de soi, en tout cas de tendre vers ce but, de faire de son mieux à chaque instant. Pour cela, ralentir, respirer et agir en conscience. C’est la liberté de choix.

Faire différemment, de tout ce que vous avez appris. L’éducation, telle qu’elle est conçue, nous a conditionnés !

À nous, de nous éduquer autrement : d’avoir la force de le faire, cela demande beaucoup de courage, de sortir des sentiers battus.

La créativité nous a été retirée. Nous devons nous redonner le droit d’être libres, et d’agir librement et en conscience pour le bien de tous.

Donnons de l’amour et de la compassion, de belles impressions, le monde en a tellement besoin !

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Je choisis la conscience. Que choisissez-vous ?

Être conscient n’est pas une mince affaire. Regardez toutes nos imperfections telles que la conscience nous les montres, alors que nous sommes parfaits aux yeux de Dieu.

L’ignorance aveuglante nous mène droit au précipice. Aujourd’hui, encore, l’histoire se répète inlassablement et parfois, c’est désespérant que nous n’ayons rien compris de la folie humaine, que nous remettions notre pouvoir à certains, à l’extérieur, à une autorité mal placée.

Je suis souveraine de mon royaume. Je fais confiance à la vie, et à ce qu’elle a, à m’apporter, même dans des situations plus ou moins agréables.

Nourrir le beau et le bon en soi, c’est être libre ! Nous avons la liberté de nourrir notre ego ou notre lumière !

C’est aussi la liberté d’agir et de ressentir, de nourrir de belles impressions en soi, comme le calme et la paix, pour soi et pour les autres.

Nous ne pouvons pas faire sans l’autre. J’aime cette phrase de Gurdjieff qui dit  » Un homme seul, ne peut rien ».

Ce qui nous est demandé, aujourd’hui, c’est de nourrir le 4e chakra, le chakra du cœur et cheminer vers l’amour véritable.

C’est un chemin de tous les jours, certains sont bien avancés, d’autres en sont au début.

Quelle que soit votre destinée, commencez à changer votre vision sur votre propre vie, sur la souffrance que vous subissez et décidez de changer votre karma.

Nous sommes encore très peu à décider de changer. Cela demande du courage de sortir de l’ignorance.

Plus nous nous « allumons », plus nous devenons des petites lumières pour les autres, et ensemble nous pourrons éclairer le monde.

Je crois que nous arrivons à un moment de notre existence où ne nous pouvons plus attendre !

Le temps est venu de s’affranchir de nos chaînes, chaînes de l’ignorance et de l’ego.

La liberté s’acquiert à force de persévérance et de courage. Et un jour, nous nous percevons différemment, notre mécanique de réaction est moins présente, moins étouffante, alors des espaces dans notre cœur s’ouvrent !

À chaque instant, nous pouvons faire différemment de ce que nous avons reçu de nos parents, grands-parents, des attitudes loyales envers eux ; ne pas les dépasser par exemple ou hériter du même caractère d’un oncle décédé à la guerre.

Nous pouvons faire différemment, je vous l’assure ! Et vivre notre propre vie libre, de toutes ces loyautés familiales !

À un moment de votre vie, c’est décider de ce que vous voulez voir fleurir chaque jour !

Quand nous vivons la vie des autres, sans nous en rendre compte parfois, de vivre des situations récurrentes, ou que nos ancêtres ont vécues, c’est que nous ne vivons pas notre propre vie.

Nous sommes intriqués avec une grand-mère ou un oncle par exemple.

Sa vie a été douloureuse, triste et vide, par loyauté, nous reproduisons la même chose jusqu’au moment où nous lui rendons ce qui lui appartient, pour être de plus en plus libre.

C’est être conscient de ce qui ne va pas et le changer. Seul, c’est compliqué, se faire aider est sage.

Je vous souhaite de réaliser vos rêves, de vous en rapprocher avec joie et enthousiasme,

de cultiver la joie en toute circonstance, car c’est elle qui nous guide et qui nous fait avancer vers nos besoins et nos rêves.

Ce n’est pas le nombre d’années qui nous sépare de notre rêve qui est important, c’est l’énergie de conviction que l’on cultive pour permettre que notre rêve se réalise.

Nous affranchir des dictats de l’ego est libérateur. Cette petite voix intérieure qui n’arrête pas de nous polluer de pensées négatives sur nous et sur les autres. Cela vous parle ?

L’exercice du STOP qui consiste à dire stop à toute pensée négative a été très salutaire pour moi. La première fois que je l’ai utilisé, il y a de nombreuses années, j’ai dit stop toute la journée !

J’ai pu ainsi voir toutes les pensées illusoires, fausses et négatives.

Je me sers encore de cet exercice, et heureusement, les pensées négatives s’envolent très rapidement.

Est-ce que vous connaissez cet exercice redoutable pour les pensées négatives ?

Essayez-le, c’est une pratique simple et à la portée de tout le monde.

Ainsi, je retrouve mon pouvoir de décision de ce que je veux nourrir dans mes pensées et dans mon cœur. Aussi, je me sens de plus en plus libre de ne laisser entrer que des bonnes choses dans mon environnement et dans ma vie.

 

Qu’est-ce que vous empêche d’être libre aujourd’hui ?

Quel pas pouvez-vous impulser pour être encore plus proche de votre liberté intérieure ?

C’est peut-être changer une pensée sur vous, une attitude, une habitude. Nous sommes souvent dans une mécanique. Si nous voulons voir changer les choses, c’est crucial de changer de comportement envers soi et les autres. Être une bonne personne pour soi et les autres.

Cela peut-être une chose toute simple. Mettre en place une nouvelle attitude plus en adéquation avec vous, avec ce que vous voulez mettre en place dans votre vie de plus enthousiasmant.

J’ai décidé que lorsque je suis devant l’ordinateur pour créer mes parutions et que je viens à saturer, je vais me promener. Maintenant, je n’ai plus d’excuses, car j’ai la forêt à mes pieds !

Cela semble facile à faire, et anodin, mais pour ma personnalité, ce n’est pas le cas.

Avec cette injonction de devoir toujours travailler, ne laissant pas de place à l’oisiveté. Ma peur était d’être considérée comme une paresseuse ! Vous reconnaissez-vous dans cette description ?

Cela vient certainement de mes grands-parents maternels, ils étaient journaliers. Ils ont beaucoup bougé pour trouver du travail. Ils n’avaient pas ou peu de temps pour eux.

Leur destin a été difficile, cela reste leur destin. Je les honore et je suis reconnaissante pour la vie qui coule en moi. Je m’autorise à faire différemment d’eux et je fais toujours partie du clan.

S’affranchir des loyautés familiales pour voler de ses propres ailes.

Être libre des injonctions conscientes et inconscientes de nos ancêtres, c’est un vrai travail ! C’est l’essentiel ! C’est le vrai travail !

Faire de cette vie, une vie d’éveil et non de labeur. Le mot « travailler » qui vient du latin populaire  » signifie  » torturer ».

Le travail comme il est conçu, nous égare du chemin de conscience pour lequel nous sommes venus sur cette terre.

Notre esprit, notre essence demande à évoluer et nous nous égarons en voulant avoir un travail bien payé pensant que c’est la seule chose qui peut combler une vie. Nous en faisons une loi, si nous ne travaillons pas, ou ne gagnons pas un bon salaire, nous le vivons mal, et nous sommes rejetés, jugés.

Le vrai travail, ou le chemin, c’est de se rendre libre de nos souffrances et celles de nos ancêtres. C’est une mission, si vous l’acceptez, vous serez libre d’Être !

Un vrai travail sur soi, prend en compte également le travail sur nos lignées, sur notre arbre généalogique.

Rien ne nous arrive par hasard, nous nous croyons libres, mais en réalité, ce n’est pas le cas, ou pas totalement. Quand une personne dit : “ Je fais ce que je veux, comme j’ai envie”  ce n’est pas totalement vrai, car c’est une illusion. Elle n’a aucune conscience des influences de son système sur elle. Elle se croit libre, mais en réalité elle ne l’est pas. Elle fait partie de différents systèmes, son système familial, éducatif, sociétal, collectif, qui influencent sa vie, ses mouvements, ses pensées, ses paroles. Que nous le voulions ou non, nous sommes liés à notre système familial.

Le travail de libération de notre arbre, est bénéfique à la fois pour nos ascendants et nos descendants. Ils deviennent libres de toute cette souffrance !

Chaque enfant aime ses parents, même s’il vit les pires atrocités. Par loyauté, par sensation de toute puissance et inconscience, il se charge de souffrances inutiles qui ne lui appartiennent pas.

Comme une fatalité, il reproduit la même vie qu’un de ses ancêtres. Toute sa vie d’adulte, il va essayer de se dépêtrer de ce marasme.

Son âme a décidé de se libérer de tous ces fardeaux, et a choisi la famille parfaite pour le faire, puisqu’il est dit que nous choisissons notre plan de vol avant de nous incarner.

Un enfant malheureux, reste un adulte malheureux. Cet enfant blessé et intriqué avec ses ancêtres, se construit sur de fausses bases, avec une éducation conditionnée. La voie de la liberté est celle de la conscience et non de l’ignorance.

Nous sommes d’un temps, où nous pouvons nous libérer de toute cette souffrance. Il existe pléthore de thérapies que nos grands-parents, n’ont pas connues et auxquelles ils n’ont pas eu accès.

Nous ne soupçonnons pas, de toutes les loyautés inconscientes qui nous portons.

Force est de constater que nous sommes liés à nos ancêtres, nos vies passées, les dettes karmiques. Notre rôle en tant qu’individu, c’est de nous délivrer de nos chaînes, car nous poursuivons tous le même but, lequel ?

Celui de se libérer des souffrances et des maladies et d’être heureux.

Tout au long de notre vie, comme un funambule, nous allons devoir avancer en nous construisant une fausse personnalité pour protéger notre essence spirituelle.

Nous répondons à des injonctions familiales, culturelles pour rester dans le clan et satisfaire notre ego.

Tout chemin spirituel, commence par une prise de conscience, un besoin d’évoluer et d’être en paix.

Qui vit à travers vous ?

J’étais beaucoup intriquée avec ma grand-mère maternelle, j’ai reproduit en partie sa vie et sa souffrance.

Je me rends compte que je suis liée à beaucoup de membres de ma famille et de mes ancêtres que je n’ai même pas connus.

Prenez le temps de regarder avec qui vous être en lien. Vous vous apercevrez que des faits similaires vous relient.

Une fois le travail personnel de libération effectué, nous ne pouvons qu’être en lien d’amour avec nos ancêtres, et eux avec nous. C’est de l’amour qui guérit et non plus qui rend malade.

C’est un travail puissant !

En nous plongeant au cœur de notre histoire familiale, et en éclairant ces zones les plus sombres, nous révélons en même temps les finalités et les incomplétudes dont nous sommes porteurs  sur lesquelles notre vie s’est fabriquée au gré de l’histoire.

Toutes ces mémoires se propagent à travers les membres d’une famille, pour ce qui a été marquant, voir traumatisant, notamment les événements forts, ressentis comme négatifs, chargés de peur ou de chagrin associé à un stress négatif très important.

Je crois que nous sommes à un tournant de l’histoire de l’humanité. Depuis presque 2 ans, nous sommes amenées à évoluer et à décider quel chemin nous voulons prendre, d’abord individuellement puis collectivement. Nous ne pouvons plus attendre, remettre à plus tard nos rêves, nos grands buts ! C’est maintenant ! Je me réjouis de toutes ces femmes qui ont décidé de s’affranchir du poids familial et de trouver leur liberté intérieure.

Les choses imposées par l’extérieur, comme se marier, avoir des enfants, une belle maison, et le chien, que la société nous impose comme la meilleure réalité à faire, sont de pures illusions.

Nous pensons que nous vivons librement, mais ce n’est pas de la liberté. Gurdjieff, disait que ces personnes ne vivent pas un vrai destin, un vrai karma ». Ils vivent un karma collectif.

Un être humain vivant est un être humain conscient.

Le chemin, c’est de s’affranchir de toutes ces conventions, ces illusions du bonheur imposées par une seule voie. J’ai voulu coller à cette image, et cela me rendait malheureuse de ne pas y arriver. Aujourd’hui, je comprends que ce n’était pas pour moi et que je devais être disponible pour mon chemin d’éveil.

Se connaître, connaître nos traits négatifs, comme l’avidité, l’orgueil, la jalousie et encore bien d’autres, fait partie du chemin, pour qu’à un moment, nous puissions nous observer dans ces traits, et mettre autre chose à la place, comme l’amour, la joie et la sérénité.

Pour cela, nous sommes invités à discipliner notre mental, notre ego et reprendre le pouvoir sur ces traits. Une discipline quotidienne, même à chaque instant, nous permet à un moment, de devenir libre de nos pensées limitantes et souffrantes.

C’est là où est la vraie liberté !

Le seul moment important, c’est l’instant présent.

Le passé est passé et le futur n’est pas encore.

Savourez votre présent, regardez comme il est plein, plein de votre respiration, de votre souffle, de la vie qui coule en vous.

Votre vie qui est le bien le plus précieux. Vous avez décidé de vos incarner pour vivre cette période très particulière !

C’est bien pour contribuer à quelque chose de plus grand que vous, pour rendre les hommes et les femmes libres ?

L’ancien est terminé, c’est maintenant, que nous pouvons agir pour le bien de tous.

Oui, nous ne nous identifions plus à ce que dit, pense l’autre de nous. C’est une vraie liberté : ne plus donner prise à nos considérations intérieures négatives. Cela fait énormément de bien !

Mais comment, en un instant, nous pouvons être balayés par les doutes, une phrase assassine, un regard, une émotion, une attitude blessante ! Notre travail, c’est de ne pas nous laisser polluer par  nos interprétations illusoires. C’est de muscler notre mental à d’autres considérations positives sur nous et sur l’autre.

Et d’abord s’aimer soi, aimer toutes les parties de nous qui nous font souffrir, les prendre dans nos bras, les accueillir pour les aimer et les apaiser. C’est le chemin de la guérison. Pourquoi reproduire indéfiniment, les mêmes attitudes qui nous mènent nulle part ? L’intelligence, c’est de changer quelque chose pour aller là où nous devrions être.

Oui, apprendre à faire taire notre mental, nos considérations intérieures, tout le doute, et le manque de confiance. S’auto-discipliner pour manifester du positif dans notre vie. Croire en soi, et nourrir des pensées de qualité, des actions de vérité envers soi et de bienveillance envers les autres. Ne plus se laisser influencer par l’extérieur, par les autres.

Personne n’a le droit de me dire quoi penser et quoi faire ! Et je ne laisse personne m’interdire d’apprendre, de changer et d’aimer.

C’est un chemin de chaque instant, et au combien libérateur ! Je vous souhaite de trouver la voie de votre âme.

Replongez-vous dans les souvenirs d’antan, grâce à mon journal des Ancêtres !

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